Appartements à vendre à Nice Cimiez

Appartements à vendre à Nice Cimiez

Cimiez : quartier résidentiel de prestige

Situé un peu plus au nord, le quartier « Cimiez », chargé d’Histoire, s’étend tel un laboratoire d’architecture éclectique, sur une colline autrefois recouverte de champs. A la fois proche du centre-ville (5 min en voiture) et paisible, il s’agit toujours d’un des secteurs les plus résidentiels les plus prisés de la ville. Egalement bien achalandé en termes de transports et commodités, celui qui est parfois surnommé « le petit Neuilly niçois » fait le bonheur des professions libérales et des familles aisées, attirées par le cadre de vie et les écoles de renoms.

Parmi les autres charmes de ce quartier figurent une quantité de demeures de prestige des anciennes têtes couronnées d’Europe du Nord, ainsi que des hôtels de luxe, tous construits à la « Belle Epoque » par des architectes de renoms, pour répondre à cette nouvelle vague touristique venant chercher un climat plus doux en hiver. Aujourd’hui ces établissements ont pour la plupart été transformé, après la Seconde Guerre Mondiale, en copropriétés de haut standing. Les appartements y sont spacieux, lumineux, avec souvent une vue dégagée sur la ville et/ou sur la mer.

Immobilier de luxe chargé d’Histoire

En partant du bas de la colline, près du centre-ville on rencontre le « Grand Palais » ainsi que son annexe le « Petit Palais », construits tous deux en 1911. Cet ancien ensemble hôtelier sur 9 étages constituait le plus haut édifice bâti de la Belle Epoque. Puis en remontant on découvre le « Majestic », avec ses gigantesques volumes et ses intérieurs de style Art Déco, dotés de magnifiques éléments de boiseries et de marqueteries.

En continuant sur le boulevard de Cimiez, sur la gauche se trouve un environnement à part, également très prisé pour sa proximité avec le centre et la très belle vue sur la Baie des Anges aux étages élevés : le quartier des Provinces (les avenues de Picardie, de Normandie, d’Alsace, d’Artois, de Bruxelles, etc.). On y trouve une certaine diversité d’appartements, soit les grandes surfaces et les parcs des résidences du début XXe, tels que l’ancien hôtel de « l’Hermitage », avec ses splendides parties communes et son parc. Mais aussi, des immeubles modernes des années 60-70, dotés de terrasses et de stationnements, tels que, un plus haut, la résidence « El Paradisio », construite dans une partie du parc de la célèbre « Villa Paradisio » (1900) de la Baronne Hélène de Zuylen de Nyevelt de Haar née Rotschild. Y sont proposé des appartements de grand standing, tous dotés d’une vue imprenable sur le parc, la ville de Nice et au loin la Baie des Anges. Egalement, dans le même esprit encore un peu plus haut, « les Jardins de Cemenelum », construite sur un terrain ayant appartenu à la fin du XIXe à un officier de l’armée anglaise, le Colonnel Evans.

En remontant, l’on rencontre les célèbres et fastueux grands hôtels de la Belle Epoque tels que le « Riviera Palace », le « Prince de Galles », ou le « Tony Pin », plus modeste, qui lui, avait dès le départ, vocation d’habitation. Parmi ces chefs d’œuvres de la Belle époque se distingue « l’Alhambra », par son architecture d’inspiration néo-mauresque, dont les nombreux éléments décoratifs orientaux, et particulièrement ses deux grands minarets comblaient la fascination de riches Européens de l’époque pour les arts orientaux. Les façades et la toiture du bâtiment, le vestibule d’entrée, le grand hall avec sa cheminée, la cage de l’escalier principal et son ascenseur ainsi que le parc sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 20 juin 2000. Cet édifice a également reçu le label « Patrimoine du XXe siècle ».

Enfin au sommet, trône le « Regina », résidence hôtelière construite en 1897 pour les besoins de la célèbre reine britannique Victoria, qui y séjournera plusieurs saisons au cours des trois dernières années de sa vie. Un bâtiment qui répond dès cette époque aux critères modernes de confort avec ascenseur, éclairage électrique, chauffage central et eau chaude à chacun de ses cinq étages, et offre une vue à couper le souffle sur la Baie des Anges. Mais la plus belle partie de l’édifice réside certainement dans cette immense verrière au rez-de-chaussée, faisant face au parc, aménagée d’un somptueux jardin d’hiver exposé au sud. Ses 400 chambres d’hôtel qui devaient à l’époque permettre d’accueillir toute la cour de la souveraine furent transformées en 98 appartements, dont les grands volumes séduiront une clientèle avertie, et souhaitant s’approprier un morceau de l’histoire de la Côte d’Azur.